Note [22] | |
« et c’est le propre des mélancoliques, qui sont sujets aux palpitations de cœur [v. note [5] de l’observation viii]. Par urètre, nous entendons le conduit de l’urine, que certains sots rattachent et assujettissent sans raison aux arts magiques, quoique ce soit pure dépravation d’une imagination pervertie ». Dans la thèse de Guy Patin :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 18 janvier 1644, note 22.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0099&cln=22 (Consulté le 11/02/2025) |