Note [22] | |
Johann Thomas Freig (ou Freige, Freigius en latin, Fribourg-en-Brisgau 1543-Bâle 1583) étudia les belles-lettres et la philosophie. S’étant attaché à la doctrine de Pierre Ramus, {a} il l’enseigna à Fribourg et à Bâle. Devenu recteur du collège d’Altdorf, il éprouva, à cause de ses idées philosophiques, des ennuis de toute sorte et mourut de la peste à Bâle où il était retourné pour se faire correcteur d’imprimerie. Guy Patin renvoyait ici à un de ses ouvrages où on ne s’attendrait guère à le voir parler François Rabelais, {b} : M. T. {c} Ciceronis orationes omnes perpetuis notis Logicis, Arithmeticis, Ethicis, Politicis, Historicis, Antiquitatis, illustratæ per Io. Thomam Freigium. Dans l’Oratio pro Quinto Roscio Comœdo [Discours pour Quintus Roscius Comœdus], une note de Freig, page 159, tome premier, porte sur le mot ageres dans le § 24, et si hos quæstus recipere posses, non eodem tempore et gestum et animam ageres ? [et si tu pouvais accéder à ces requêtes, ne rendrais-tu pas dans l’instant et le mouvement et l’âme ?] :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 31 octobre 1656, note 22.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0449&cln=22 (Consulté le 16/03/2025) |