Note [23] |
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« jusqu’à ce que le malade ait été rendu exsangue. » Les médecins ne disposaient pas que de l’antimoine pour tuer les gens… |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 29 octobre 1658, note 23.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0544&cln=23 (Consulté le 21/03/2025) |