Note [3] |
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« Si quelque veine de vertu ancestrale vivait encore en nous » ; pudique transformation de Perse, blâmant les mauvais vers de ses contemporains (Satire i, vers 103‑104) : Hæc fierent si testiculi vena ulla paterni |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 6 septembre 1650, note 3.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0241&cln=3 (Consulté le 18/01/2025) |