Note [3] |
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« mais qui professe un art qu’il ne comprend pas » (v. note [18], lettre 290). Un paragraphe ayant sans doute été escamoté dans la transcription de Reveillé-Parise, il faut imaginer que l’énumération qui commence ici est la réponse que Guy Patin apportait à la question que Charles Spon lui avait posée dans une précédente lettre, au sujet de trois médecins princiers, tous protestants et originaires de Lyon, qui avaient soigné sa belle-sœur, Marie Seignoret, lors de son séjour à Paris. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 6 juin 1655, note 3.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0403&cln=3 (Consulté le 18/01/2025) |