Note [3] |
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« provient d’un esprit flatulent enfermé dans les artères, et dans les espaces vides des muscles et des membranes ; la cause d’un si important symptôme est double, intempérie très chaude et afflux de liquide séreux. » Guy Patin n’avait pas admis la circulation de William Harvey et continuait à croire les artères vides de sang, mais emplies d’un « esprit aérien » (d’où vient d’ailleurs le mot artère). V. note [4], lettre de Hugues ii de Salins, datée du 3 mars 1657, pour la goutte crampe. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 9 mars 1657, note 3.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0468&cln=3 (Consulté le 20/03/2025) |