Note [3] |
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« admettait une âme du monde qui dirigeait toutes choses : “ Un souffle intérieur le nourrit, {a} diffus dans ses membres, l’esprit meut la masse tout entière et se mêle à ce corps puissant. [De là proviennent la race des hommes et des animaux, et les vies des oiseaux…] ” » {b} |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 12 octobre 1660, note 3.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0643&cln=3 (Consulté le 21/04/2025) |