Note [3] |
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« On parle ici en mal de votre vieux rabbin et on dit qu’il délire, ce que je crois volontiers ; l’autre ne s’y entend pas et ne s’y entendra jamais vraiment ; cette part de folie est immense en de tels médicastres ; mais qu’on abandonne en pâture aux corbeaux ces vauriens hématophobes, ou plutôt qu’ils aillent au diable et ne s’occupent que de leurs affaires. » Ce passage médisant visait deux médecins de Lyon, dont André Falconet avait dû se plaindre à Guy Patin : peut-être Henri Gras et Lazare Meyssonnier. Le texte du P. Jean Bertet sur le mariage de Savoie (v. note [13], lettre 745) n’a pas laissé de trace dans les catalogues ; Sommervogel le cite dans sa bibliographie du P. Bertet, mais en donnant pour référence cette lettre de Guy Patin. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 18 mai 1663, note 3.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0750&cln=3 (Consulté le 14/02/2025) |