Note [3] |
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« On dit, sans savoir, beaucoup de choses sur sa maladie, et dont on conteste fort justement la vérité : ô malheureux princes qui entendent si peu ce qui est bon pour eux ! Plus malheureux encore ceux qui ne se rendent pas compte de ce qui est mauvais pour eux. » Les « rabbins de Tertullien » visent les médecins donneurs d’antimoine (v. note [5], lettre 801). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 16 décembre 1664, note 3.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0803&cln=3 (Consulté le 29/04/2025) |