Note [3] |
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« grâce à toi, ma Muse ! » ; Ovide (Tristes, livre iv, élégie 10, vers 117) :
Sa pratique médicale était la Muse qui mettait (encore) Guy Patin à l’abri du besoin en 1655. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johannes Antonides Vander Linden, le 18 février 1656, note 3.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1077&cln=3 (Consulté le 14/02/2025) |