Note [3] |
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« Jules est enfin sous terre : c’est merveille qu’entouré par tant de bourreaux un larron ait tant peiné à mourir » (distique attribué à François Du Monstier, v. note [8], lettre 684). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johannes Antonides Vander Linden, le 18 mars 1661, note 3.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1195&cln=3 (Consulté le 22/04/2025) |