Note [3] |
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« et cependant je ne suis pas allé jusqu’au point d’impiété qu’Ovide a jadis atteint, pleurant un ami mort : “ Quand je vois le malheur nous arracher les plus vertueux, pardonne-moi cet aveu, je suis tenté de croire que les dieux n’existent pas ” » {a} |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : L’Esprit de Guy Patin (1709), Faux Patiniana II-2, note 3. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=8215&cln=3 (Consulté le 19/01/2025) |