Note [30] | |
V. note [2] des Décrets et assemblées de la Faculté en 1650‑1651 pour les sommes attribuées l’année précédente : un honoraire de 150 livres pour le doyen (Jean Piètre) et 4 livres à chaque docteur. Les versements de 200 livres au doyen, et de 3 livres et 8 sols à chacun des docteurs, en 1651, creusaient un peu plus encore le déficit annuel de la Faculté. Son montant peut expliquer les trois mille livres qu’elle empruntait de loin en loin à l’un de ses riches régents (v. supra note [14]). Les Écoles de médecine étaient donc pauvres et vivaient à crédit. Il est surprenant de voir que, malgré cela, elles ne réclamaient aucun droit d’inscription à leurs étudiants pendant les quatre années de leur préparation au baccalauréat (v. supra note [11]).V. notes :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Commentaires de la Faculté rédigés par le doyen Guy Patin (1650-1652) : 1C. Novembre 1650-novembre 1651, Comptes de la Faculté de médecine le 26 janvier 1652, note 30.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=8184&cln=30 (Consulté le 13/02/2025) |