Note [4] | |
« On dit proverbialement qu’un homme a usé son luminaire, qu’il a perdu son luminaire, quand il a perdu la vue, soit par excés d’étude, ou de débauche » (Furetière). Phtisie, fièvre, diarrhée et cécité font évoquer divers diagnostics :
La toxicité oculaire d’un des multiples composants de la thériaque pourrait fournir une autre interprétation de cette observation, mais elle est moins plausible. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 28 juillet 1642, note 4.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0066&cln=4 (Consulté le 17/02/2025) |