Note [4] |
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Dieu devra leur en être reconnaissant (restera en dette envers eux) : « Nous sommes des serviteurs inutiles, nous avons beau travailler, Dieu ne nous en devra jamais de reste » (Furetière). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 8 septembre 1654, note 4.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0369&cln=4 (Consulté le 28/03/2025) |