Note [4] |
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« S. » dans Bulderen, que Reveillé-Parise a curieusement traduit par « sermon », en dépit du contexte. Outre son épouse et celle de son fils aîné, Robert (marié le 31 mai 1660 à Catherine Barré), Guy Patin parlait ici de deux belles-sœurs, qui devaient être sœurs ou belles-sœurs de son épouse, née Jeanne de Janson ; il a écrit dans sa lettre du 30 janvier 1652 à Charles Spon qu’il avait racheté à ses deux beaux-frères leurs parts dans sa maison des champs de Cormeilles. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 17 juin 1660, note 4.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0618&cln=4 (Consulté le 21/04/2025) |