Note [4] |
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« Un corps sain puise en lui-même sa force, et n’a nul besoin d’un Machaon, mais le malade, inquiet sur son état, a recours aux conseils du médecin » (Ovide, Pontiques, livre iii, lettre iv, à Rufin, vers 7‑8). Dans l’Iliade, Machaon ou Asclépiadès (fils d’Esculape, v. note [5], lettre 551) et son frère Podalirios (v. note [18] du Traité de la Conservation de santé, chapitre viii) furent les médecins des Grecs pendant le siège de Troie. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 11 janvier 1661, note 4.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0663&cln=4 (Consulté le 21/01/2025) |