Note [4] | |
« je crains fort que pourtant la grande négociation n’[aboutisse] pas et qu’au moment critique, la corde ne rompe » ; Térence (Phormion, ii, 2, vers 323‑324) :
Ne in nervum erumpat [De peur que la corde ne rompe] est un adage commenté par Érasme (no 1536) :
On était alors dans les prémices de la deuxième guerre anglo-hollandaise (mars 1665-juillet 1667) : depuis la fin de juin 1664, les Anglais attaquaient la colonie de Nouvelle-Néerlande sur la côte est d’Amérique du Nord (comprise entre la Virginie au sud et la Nouvelle-Angleterre au nord) pour s’en rendre maîtres en octobre. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 29 août 1664, note 4.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0791&cln=4 (Consulté le 21/04/2025) |