Note [4] |
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« sur le traitement de la syphilis par le mercure, remède qui est à tenir pour sûr et excellent » ; v. note [1], lettre 157, pour cette seconde quodlibétaire (et dernière des trois thèses) de Robert Patin, alors bachelier de médecine. Guy Patin allait ensuite projeter le cursus de Robert : son examen « particulier » (particulare, v. note [13], lettre 155), que son père appelait ici « pratique » (practicum), ses diplômes de licence, de doctorat et de régence ; et surtout un grand voyage en Europe centrale, pour s’ouvrir l’esprit, comme faisaient alors de nombreux jeunes médecins, mais Robert ne l’entreprit jamais que dans les rêves de son père. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johann Georg Volckamer, le 24 décembre 1649, note 4.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1049&cln=4 (Consulté le 22/03/2025) |