Note [4] |
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Le latin que Guy Patin a barré (ici mis entre accolades), « et que sobre, il se contente d’eau pure », venait d’Ovide : Vina fugit, gaudetque meris abstemius undis [Sobre, il fuit le vin et se contente d’eau pure] (v. note [3], lettre 159). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À un médecin anonyme, le 26 mai 1653, note 4.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1055&cln=4 (Consulté le 27/03/2025) |