| Note [4] |
|
Dans ses lettres de cette période, tant latines que françaises, tandis que foisonnaient les libelles pour et contre l’antimoine, Guy Patin a dit et répété que Jean ii Riolan travaillait ardemment à réfuter ce médicament, mais il n’en a résulté aucun livre imprimé (v. note [18], lettre 252). Riolan avait alors encore un peu plus de trois ans à vivre. |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johannes Antonides Vander Linden, le 12 décembre 1653, note 4.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1059&cln=4 (Consulté le 06/11/2025) |