À Charles Spon, le 17 juillet 1657, note 40.
Note [40]

« qui ne mettait pas de fin à ce qu’il écrivait et qui rougissait de honte chaque fois qu’il ne faisait pas un nouveau traité. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 17 juillet 1657, note 40.

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(Consulté le 18/04/2025)

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