Note [42] | |
Catulle, Poèmes (lxxxvi, vers 4) : Nulla in tam magno est corpore mica salis [dans tout ce grand corps il n’y a pas un grain de sel]. Jean Aubry a réuni sa Merveille du monde et son Triomphe de l’Archée, qui ont connu de nombreuses éditions ; mais je n’ai pas vu les dédicaces dont parlait Guy Patin dans celles que j’ai regardées. La seconde partie de ce livre exubérant est une suite de consultations par lettres datées de 1652 à 1657. Toutes sont à la louange de leur auteur qui défend avec ardeur la médecine chimique, et tout particulièrement les lubies de l’illuminé saint Raymond Lulle. {a} La fin de l’Au lecteur (page 9, de la 4e édition) est particulièrement éloquente à cet égard :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 17 juillet 1657, note 42.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0487&cln=42 (Consulté le 16/02/2025) |