Note [43] | |
Ancillariolus figure dans cette amusante épigramme de Martial À Alauda (livre xii, lviii) : Ancillariolum tua te vocat uxor, et ipsa Le Dictionnaire de Trévoux définit ainsi le mot ancillariole : « Mot forgé du latin ancillariorus. Il se trouve dans la Bibliothèque des gens de cour, {a} encore y est-il en italique ; il signifie, selon le Dictionnaire de Boudot, {b} un homme “ qui se plaît à caresser les servantes, qui en est amoureux ”. Guillaume Colletet {c} avait épousé trois servantes, il était ancillariolus. » Le vin de Beaune, « vin des dieux » était (avec celui d’Aï) vinum Dei, « vin de Dieu », pour le même Baudius, dans les lettres de Guy Patin à André Falconet, le 5 décembre 1656 (v. sa note [10]), et à Charles Spon, le 18 janvier 1658 (v. sa note [6]). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : Patiniana I‑1 (1701), note 43. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=8196&cln=43 (Consulté le 19/01/2025) |