Note [5] |
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« par écrit et de sa propre main ». Le samedi 7 juillet, l’Assemblée du Clergé, réunie à Paris, avait estimé que « la coutume de France ne permet pas que les princes du sang […] se marient sans le consentement du roi […] que tels mariages ainsi faits sont illégitimes et nuls » (R. et S. Pillorget). Cet avis n’eut pas d’effet : toutes les tentatives que fit Louis xiii pour casser la mésalliance de son frère Gaston échouèrent ; sous l’influence de Mazarin, le roi reconnut et régularisa en quelque sorte ce mariage huit jours avant sa mort (14 mai 1643). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 28 août 1635, note 5.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0024&cln=5 (Consulté le 09/02/2025) |