Note [5] |
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« Il a péri du mauvais sort qu’il s’était fait » ; v. note [16], lettre 98, pour Ferrante Pallavicino et son sulfureux Divorce céleste qui lui coûta la vie. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 13 juin 1644, note 5.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0106&cln=5 (Consulté le 24/01/2025) |