Note [5] |
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Trêve « se dit en matière de douleurs quand on y sent quelque allègement, quelque relâche. Sa goutte lui a donné quelque trêve dans la belle saison » (Furetière) ; pour dire que Jean ii Riolan, fort asthmatique (dyspnéique), avait moins à lutter pour respirer. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 15 décembre 1654, note 5.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0384&cln=5 (Consulté le 24/01/2025) |