Note [5] |
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« et bénie soit la race des justes. » L’intérêt méticuleux que Guy Patin portait à la descendance de Jean Fernel atteste de l’admiration sans borne qu’il vouait au grand médecin français du xvie s. Il allait revenir sur le sujet : v. note [5], lettre 431. Du mariage de Jean Fernel avec Madeleine Tournebulle (ou Tournebue, v. note [29] du Faux Patiniana II‑3), en 1531, étaient nées les deux filles dont il est ici question : Marie l’aînée, et Madeleine. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 25 septembre 1655, note 5.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0416&cln=5 (Consulté le 08/02/2025) |