Note [5] |
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« à cause du suc de citron et d’oranges, qui sont acides. Ces opiates des pharmaciens ne sont là que pour piéger la bourse des malades : la thériaque, le mithridate et autres que vous évoquez ne sont pour moi que poisons. » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 1er août 1659, note 5.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0571&cln=5 (Consulté le 20/01/2025) |