Note [5] |
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« S. Caquea » dans Bulderen, « sainte Caquea » dans Reveillé-Parise (qui épilogue sur la misogynie de Guy Patin). Le caquet (ici sanctifié par dérision) est une Le caquet est une « abondance de paroles inutiles qui n’ont point de solidité ; […] on appelle le caquet de l’accouchée cet entretien de bagatelles qu’ont plusieurs femmes assemblées, comme il s’en rencontre chez les femmes en couche ; on dit aussi qu’une femme est dans les caquets quand, par sa mauvaise conduite, elle donne occasion aux autres de médire d’elle » (Furetière). Trotter et babil avient déjà leurs sens modernes. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 17 juin 1660, note 5.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0618&cln=5 (Consulté le 21/04/2025) |