Note [5] |
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Un lecteur fort bienveillant pourrait voir dans ce bel aveu de Guy Patin une prémonition de l’immense découverte des capillaires sanguins par Marcello Malpighi en 1661 (v. note [19] de Thomas Diafoirus et sa thèse). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À N. de Villedon, le 20 septembre 1658, note 5.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1141&cln=5 (Consulté le 24/01/2025) |