Note [5] |
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Du grec boubôn (aine) et kêlê (hernie), le bubonocèle (substantif masculin) était un autre nom de la hernie inguinale (scrotale, v. note [5], lettre de Charles Spon, datée du 6 avril 1657). Autre forme de hernie abdominale, l’épiplocèle (substantif féminin) se distingue non pas par sa localisation, mais par son contenu : il ne s’agit pas d’une anse intestinale (entérocèle, v. note [1], lettre latine 361), mais de péritoine (épiploon) ; il en résulte que l’épiplocèle est molle et inégale, et n’émet pas de gargouillement quand on la palpe. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Henrik von Möinichem, le 10 décembre 1664, note 5.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1363&cln=5 (Consulté le 20/04/2025) |