Note [5] | |
« composition conçue pour le luxe : à quoi bon tant de médicaments simples de si diverses natures, quel dieu malfaisant leur a enseigné ces duperies ? La nature se contente de peu, etc. » ; succession de deux emprunts, v. notes :
V. note [1], lettre 1001, pour la thèse contre l’emploi de la thériaque dans la peste, que Guy Patin méditait alors et qu’il présida le 5 mars 1671. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Thomas Bartholin, le 1er avril 1669, note 5.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1505&cln=5 (Consulté le 23/03/2025) |