Note [5] |
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« et je n’ai en effet pas tant de loisir que je puisse me distraire de mes affaires. » V. note [5], lettre 551, pour Esculape, dieu de la médecine et nom qu’on donnait quelquefois (et souvent par ironie) à un médecin en renom. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
De Charles Spon, le 15 mai 1657, note 5.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=9019&cln=5 (Consulté le 18/04/2025) |