Note [58] |
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Tripe se dit « figurément et par mépris, des passages et lambeaux qu’on tire des auteurs grecs et latins, pour en faire des citations inutiles, ou affectées, ou pédantesques, pour faire paraître quelque érudition à contretemps » (Furetière). Guy Patin était lui-même grand amateur de tripes. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 1er mai 1654, note 58.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0348&cln=58 (Consulté le 22/01/2025) |