Note [6] |
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Manuscrit des Chrestomathies pathologiques de Caspar Hofmann que Guy Patin avait acheté à sa veuve et dont il attendait impatiemment l’arrivée (v. note [17], lettre 192). Une défroque était au sens strict la « dépouille d’un moine, d’un chevalier qui a fait des vœux, sa succession », et au sens large, l’héritage mobilier de tout défunt (ici les livres de sa bibliothèque). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 17 septembre 1649, note 6.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0197&cln=6 (Consulté le 19/02/2025) |