Note [6] |
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« afin qu’il y puise un air plus pur et plus clarifié pour la fortification des parties thoraciques, et pour le bon mélange de la chaleur interne des viscères. » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 2 mars 1655, note 6.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0392&cln=6 (Consulté le 11/02/2025) |