Note [6] |
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Les écoliers de Guy Patin au Collège de France étaient pour la plupart : soit des étudiants parisiens, dont l’absence de protection (népotisme, religion), la cherté des droits annuels d’inscription, ou le niveau exigé pour l’obtention du diplôme (les degrés) forçaient un bon nombre à prendre leur inscription dans d’autres Écoles de médecine (Reims, Rouen, etc.) que celle de Paris ; soit des étrangers qui venaient y parfaire leurs connaissances médicales. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 11 mai 1655, note 6.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0402&cln=6 (Consulté le 23/01/2025) |