Note [6] |
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« mais avec un médicament un peu plus vigoureux, sans doute en y en ajoutant de plus forts, savoir du sirop de roses pâles et de fleurs de pêcher ; évitez absolument toute sorte de scammonées ». |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 10 juillet 1664, note 6.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0787&cln=6 (Consulté le 25/03/2025) |