Note [6] | |
« mais que cet empourpré se porte bien et qu’il s’occupe donc de ses affaires, ou plutôt qu’il s’en aille au diable, là-bas d’où des oiseaux de malheur nous l’ont malencontreusement envoyé » (Catulle, v. note [104], lettre 166). Tout s’arrangea finalement (Olivier Le Fèvre d’Ormesson, Journal, tome ii, pages 193‑195, mercredi 30 juillet 1664) :
Le cardinal-légat fit son entrée à Paris le 9 août « sur une mule blanche, vêtu de rouge avec le chapeau de cardinal renoué sous le menton », en présence d’une « foule extraordinaire, et assurément il ne se peut voir plus de monde ensemble » (ibid. page 203). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 25 juillet 1664, note 6.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0789&cln=6 (Consulté le 21/04/2025) |