Note [60] |
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« Pour mon livre sur l’Âme, si vous le trouvez bon, je le ferai sortir sous les auspices de M. Cras, médecin turennien [?], et quand les dieux le voudront bien. » Guy Patin lui-même reconnaissait l’obscurité du locatif Tureniensis, qu’il interprétait comme pouvant vouloir dire attaché à la personne du maréchal de Turenne (nom qui est à l’origine celui d’une petite ville du Limousin), ou originaire d’une improbable ville d’Allemagne. Dans sa lettre du 22 mars 1648, Patin a confirmé à Charles Spon qu’Henri Gras était bien le dédicataire du traité d’Hofmann. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 7 février 1648, note 60.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0150&cln=60 (Consulté le 21/01/2025) |