Note [61] |
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On peut comprendre tout et son contraire dans cet inextricable salmigondis latin : ma traduction n’est qu’une interprétation de son propos, où j’ai cru voir une excuse embarrassée des éminents services que Jean Héroard a rendus à l’odieux duc de Joyeuse, ardent massacreur de protestants. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Annexe : Les deux Vies latines de Jean Héroard, premier médecin de Louis xiii, note 61. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=8225&cln=61 (Consulté le 18/01/2025) |