Note [7] |
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« Lorsque les Sabins eurent enfermé le vieux Janus, ce fut partout le signe d’une paix florissante : il n’y a aucun salut dans la guerre, le monde entier réclame la paix. Et nous, avons-nous enfermé un vigoureux Janus ? Qu’en adviendra-t-il ? » Ces vers latins sont de Nicolas Bourbon : v. note [37] du Borboniana 9 manuscrit pour leur commentaire. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 10 mars 1638, note 7.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0038&cln=7 (Consulté le 25/01/2025) |