Note [7] |
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Le libraire-imprimeur Guillaume i Macé avait commencé d’exercer à Paris avant 1610 et poursuivit son activité jusqu’après 1644 (Renouard). L’inimitié de Guy Patin à son encontre avait quelque chose de prémonitoire : c’est à son fils, Guillaume ii, que Catherine Barré, veuve de Robert Patin, fils aîné de Guy, vendit en 1674 les dernières dépouilles de la bibliothèque de son beau-père (v. note [26] de La Bibliothèque de Guy Patin et sa dispersion). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 21 octobre 1644, note 7.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0113&cln=7 (Consulté le 26/01/2025) |