Note [7] |
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La dette de l’avocat Virelle envers Charles Spon était de cent livres (v. note [2], lettre 933). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 8 décembre 1671, note 7.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1011&cln=7 (Consulté le 28/03/2025) |