Note [7] |
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Intégralement transcrite, traduite et commentée dans notre édition, la fameuse thèse cardinale de Guy Patin Estne longæ ac iucundæ vitæ tuta certaque parens sobrietas ? [Une sobriété prudente et déterminée n’est-elle pas la mère d’une longue et agréable vie ?] (affirmative, 14 mars 1647) avait rudement malmené les apothicaires de paris : v. note [6], lettre 143, pour le procès qu’ils intentèrent et perdirent ensuite contre lui. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Thomas Bartholin, le 20 juin 1647, note 7.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1044&cln=7 (Consulté le 16/02/2025) |