Note [7] |
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« pourtant il en faut peu, un seul même », v. supra note [2]. Tous les remèdes externes étaient sans effet, par comparaison avec les bandages, que Guy Patin avait déjà loués dans sa lettre latine 140 en confiant souffrir lui-même de hernie scrotale. La chirurgie herniaire n’a vu le jour que bien plus tard. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Henrik von Möinichem, le 10 décembre 1664, note 7.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1363&cln=7 (Consulté le 24/03/2025) |