Note [7] | |
Ejus absentia me torquet, sed Deus nobis aderit, eumque iterum videbo : c’est la plus poignante confidence de Guy Patin sur les déboires de Carolus ; il n’eut jamais la joie d’embrasser à nouveau son plus cher fils. Ici comme ailleurs dans les lettres latines écrites après 1667, il est frappant de voir comme Patin a souvent évoqué l’exil de Charles, dont il a très peu écrit dans ses lettres françaises qui ont survécu au temps. Deux raison me semblent à invoquer :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Sebastian Scheffer, le 29 octobre 1668, note 7.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1493&cln=7 (Consulté le 26/04/2025) |