« ce qui reste est parfaitement cohérent. »

V. notes :

• [5], lettre 530, pour ce Testimonium Flavianum [Témoignage de Flavius Josèphe] que certains suspectent d’avoir été embelli par les premiers transcripteurs chrétiens, en y ajoutant deux passages (interpolations) sur la divinité de Jésus-Christ et sur sa résurrection après la crucifixion ;

• [43] du Grotiana 2 pour les Oracles ou Livres sibyllins.

Parmi les très nombreux témoignages sur le Nouveau Testament qui ont été écrits pendant les premiers siècles de notre ère, on compte plusieurs évangiles apocryphes (attribués à Judas, Barnabé, Pierre, Marie, etc.), dont l’Église romaine n’a pas admis l’authenticité, mais qui ont été à l’origine de maintes pieuses légendes.