Note [7] |
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Charles Spon pouvait faire allusion à la bure (burra en latin) des moines, ou au conte du « moine bourru » : fantôme imaginaire, « lutin qui, dans la croyance du peuple, court les rues aux Avents de Noël et qui fait des cris effroyables » (Furetière). La même source donne à l’adjectif bourru le sens de « bizarre, qui ne veut point voir le monde, qui a des maximes extravagantes ; c’est un esprit bourru qui ne se laisse gouverner par personne ». V. note [8], lettre 513, pour la friponnerie du moine chartreux dénommé Boquet. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
De Charles Spon, le 5 mars 1658, note 7.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=9033&cln=7 (Consulté le 26/01/2025) |